Débat sur le nucléaire.

Le 11 mars dernier, le Japon à été secoué par le séisme le plus important ressenti sur l’archipel de mémoire d’homme.

Il s’en est suivi une vague destructrice, qui à ravagé les villes et villages sur plusieurs kilomètres, emportant les habitant, semant la mort et la désolation.

Parmi les innombrables destructions causées par le tsunami, les centrale nucléaires de Fukushima ont été si durement touchées que, au moment d’écrire ces lignes, deux réacteurs nucléaires ont explosé, dans une catastrophe désormais classée deuxième pire accident nucléaire après l’explosion de la centrale de Tchernobyl en 1986.

Ces faits dramatiques ont eu pour effets immédiats de relancer soudainement la question du nucléaire chez nous en Europe. L’Allemagne réagit comme un enfant qui se réveillerais avec une grenade dégoupillée dans son lit, chez nous en France, les écologistes hurlent au scandale, disant qu’il n’y à pas de débat et que l’EPR nous a été imposé, …, …, …

Bien que je ne pense pas qu’aujourd’hui les solutions alternatives au nucléaire soient viables, je ne rentrerais pas dans ce débat. Pas aujourd’hui (ironie du sort, j’avais un papier en préparation sur le sujet!).

Pour être honnête, je trouve profondément choquant et indécent que se débat se tienne aujourd’hui et maintenant.

Ce n’est pas quand la maison de votre voisin brûle qu’il est urgent de se disputer avec votre femme à savoir s’il vaut mieux acheter une chaudière au fioul, ou installer une cheminée au bois… L’urgent à ce moment là est de tout mettre en œuvre pour l’aider à éteindre le feu, et à sauver ces enfants bloqués à l’étage…