J’accepte donc ce destin, si cruel, injuste, finalement implacable et charitablement impartial…
Le sol vibre, le monde tremble. Tout bouge autour de moi. L’univers tourne dans une valse infinie. Des couleurs chatoyantes me caressent les rétines alors que je suis porté par une musique entrainante. C’est le meilleur moment de ma vie. Nous sommes en 1983, et dans une galerie marchande, mes parents m’ont offert un tour de manège. Mon avion monte, descend, part en vrille, fait des loopings, mais…samedi 27 août 2011
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