vendredi 25 septembre 2009

Chateaux et vielles pierres

La ville de Montrichard, dans le Loire et Cher:

Le donjon carré de son chateau prouve que celui ci à été construit avant le XIIe siècle. La ville est composée de maison médievalles et de maisons à colombages.
Le Château de Montrichard est un château fort, aujourd'hui en ruines, situé au cœur de la commune.
Construit par le comte d'Anjou Foulques Nerra, Il lui servait de point d'appui dans sa lutte contre lecompte de Blois, Eudes II.
En 1188, le roi de France Philippe Auguste, après en avoir fait le siège, le détruit partiellement.
Hugues Ier d'Amboise, s'empara de la forteresse de Montrichard, en 1109. Il fit des travaux d'agrandissement et ce sont les restes de cette forteresse que nous voyons aujourd'hui.

La ville de Blois le Loire et Cher:

Aujourd'hui beaucoup plus imposante que sa rivale de l'époque médievale, Blois est une ville dont le style architecturale prouve le passé historique riche de la région.

Le Chateau royale de Blois lui trône aujourd'hui fièrement au milieu de la ville.
Bien qu'étant une deumeure royale, il était abandonné plus de 130 ans avant la révolution. Pillé et saccagé par des habitants soucieux de faire disparaitre toutes traces de la royautée, son état était si pitoyable que Napoléon en envisagea la destruction. Finalement cédé à la ville de Blois pour en faire une caserne militaire, le chateau est parvenu jusqu'à nous.
Le chateau de Fallavier, en Isère:
Le château de Fallavier en 987. En 1347, il passe dans le domaine royal, il sera lié au destin de la couronne jusqu'à son abadon. En 1427, le château est pris par le prince d’Orange, seigneur rebelle, qui est finalement délogé par le gouverneur du Dauphiné en 1431. Il semble que cet événement militaire soit le dernier qu’ait connu le site, qui sombre alors dans un lent mais inexorable abandon.
Sous la direction de son dernier propriétaire, Gabriel Mérard, des bénévoles le restaurent pendant les années 1970.
Le château de Fallavier a également servi récemment de décor pour de nombreuses scènes en extérieur de la série Kaamelott.
Le chateau de Commequier, en Vendée:
On ignore l'emplacement de l'enceinte primitive. On pense qu'elle aurait été construite au XIe siècle, en même temps que la Chaize le Vicomte et Tiffauges, sur l'initiative du Vicomte de Thouars dont le pouvoir s'étendait sur tout le nord de l'actuelle Vendée.
Le chateaux dont les ruines peuvent être visiter de nos jours à été construit dans la seconde moitié du XVe siècle et le début du XVIe siècle en pierres blanches de sallertaine par Louis de Beaumont. L'edifice a été démantelé sur ordre du cardinal de Richelieu en 1628 en même temps que d'autres châteaux de la région a la même époque. Il était alors la propriété de la famille de la Trémoille.

Le chateau de Vizille, en Isère:
La première mention au chateau de Vizille remonte à 996, date à laquelle il appartenait à Humbert d’Albon, évêque de Grenoble. La famille d’Albon, à l’origine de la création du Dauphiné, prenant de l'importance, le château devint une résidence permanente où vivait une partie de la famille delphinale, puis il entra dans le domaine royal en 1349.
Après la fin des guerres de religions, François de Bonne, futur premier duc de Lesdiguières et dernier connétable de France, acheta pour 2000 écus d’or l’engagement du château et de la terre de Vizille, qui s’étendait alors jusqu’à l’Oisans, La Mure et Vif et englobait le marquisat du Champsaur. Il fit aménager une somptueuse demeure, creuser des canaux, créer un plan d’eau, aménager et clore un parc d’une centaine d’hectares (grâce à un pacte avec le diable d’après la légende). Les travaux s’échelonnèrent de 1600 à 1620.
En 1716 le chateau passa à la famille de Villeroy, alliée à celle du connétable Lesdiguières, qui le vendit en 1775 à Claude Perier, riche négociant grenoblois. En 1788, il fit jouer à l’édifice un rôle historique majeur en ouvrant ses portes aux Etats généraux du Dauphiné, manifestation politique déterminante dans le déclenchement de la Révolution française. Au début du XIXe siècle, son fils Augustin développa l’activité en créant une filature et un tissage de coton. Ces ateliers employaient alors à Vizille et aux alentours jusqu’à 1500 ouvriers, donnant à l’économie vizilloise un essor considérable. Après un premier incendie catastrophique en 1825, qui ravagea toute l’aile droite ainsi que de nombreuses maisons du quartier, l’incendie de 1865, faisant disparaître la galerie du Connétable et la salle du jeu de paume, mit fin aux travaux de restauration en cours et signa l’arrêt quasi total de l’activité économique sur le site
En 1862, le château et son portail d’entrée ont été portés sur la liste des Monuments historiques. Divers propriétaires se succédèrent avant que le château ne devienne propriété de l’Etat en 1924 afin de sauver du démembrement ce haut lieu de l’histoire républicaine. Résidence d’été des Présidents de la République, il accueillit Gaston Doumergue, Albert Lebrun, Vincent Auriol et René Coty. Le Conseil Général de l’Isère acquit la propriété en 1971 et ouvrit en 1984 les premières salles du musée de la Révolution française.

dimanche 13 septembre 2009

Paris

Quelques photos d'une ville chargée d'Histoire....


Paris, vous l'aurez reconnue bien sûr...

dimanche 6 septembre 2009

En regardant d'en haut.

Le ciel vu du ciel...

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