dimanche 3 avril 2011

Voyage à Naples...

Afin de vous faire rêver un peu, je partage avec vous un récit un peu romancé. Romancé, car en fait, c’est le mélange de trois voyages que j’ai effectués en Italie… Par contre, totalement réaliste, car rien n’à été inventé… Quinze jours en Italie... Pour une mission professionnelle.
Pour commencer, cliquez ici, et régalez vous...
C'est ce qui passait sur "Rrrrrradio Kiss Kiss Napoli, la Rrrradio della citta" environs 150 fois par jours pendant mon séjour...

Dimanche.
Pas grand chose à dire su le voyage en lui même. Les deux heures d'avion passent vite, avec survol de Chambéry, puis des Alpes, les Apenin, et enfin atterrissage à Rome. Tout de suite, premier choc, premier contact avec les locaux… Sortis du parking de l’aéroport, on rentre directement sur l’Autostrade… La voiture, comme chaque voyage là bas, c’est folklorique. Les italiens doublent par la droite, par la gauche, sur les zébra si la voie est unique, et malgré des panneaux avertissant tous les 3 Km de la présence de radars, impossible de connaitre la limitation, et impossible de rouler à moins de 130Km/h sous peine de se faire klaxonner, insulter, harponner...
Bref. Je laisse prudemment le "machina" dans une rue et continue à pieds. J'ai le temps entre la fin de la matinée et le début de l'après midi de voir le Colisée, le cirque Maximus, la fontaine de Trévis, d'aller saluer le Pape, ... Que de belles choses...
Au moment de repartir, c'est autre chose... Éreinté par mes 16Km parcourus en 4 heures (en comptant le temps a regarder les monuments, je vous assure que ça fait une bonne moyenne), le retours a l'autoroute par le réseau secondaire est difficile... J'avais oublié qu'ici, ils n'aiment pas les panneaux de direction... Ils ont peut être inventé les routes, mais pas les panneaux d'indication!! Je tourne donc en rond, slalomant entre les chauffard... Pardon, les autres conducteurs, mettant plus de trois quart d'heure à retrouver l'autostrade...
L'Italie du sud est telle que l’on peut l’imaginer avec les visions des pires clichés que l’on en a... Mais en pire! Bruyante, sale et désordonnée...
Arrivé à Caserta, je suis allé visiter la ville. A part un château vraiment époustouflant avec son parc magnifique, la ville ne parait pas superbe... Les vitrines Swarowsky, Gucci & cie côtoient les clochards et les poubelles...

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