dimanche 22 mai 2011

Sortir du nucléaire?

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Pour ce qui est de la récupération d’énergie naturelle, je distingue là aussi deux grandes familles: L’hydroélectrique qui assure 12% de la production, et l’éolien (dont je vous parlerais la semaine prochaine) qui décolle péniblement depuis quelques années pour atteindre aujourd’hui 1,7% de la production.

Depuis plus de 2000 ans, l’homme utilise la force des torrents pour ces moulins. Il fut donc tout naturel au balbutiement de la production d’électricité de remplacer la meule du moulin par un alternateur. C’est aussi simple que ça. Le principal inconvénient de cette technologie est qu’on ne peut pas l’installer ou l’on veut, afin de pouvoir approvisionner les turbines, il faut tout de même un minimum de débit, d’énergie potentielle (une rivière qui coule doucement au fond d’une plaine ne dispose pas de suffisamment d’énergie), et de constance dans le niveau de la rivière. Condition qui n’est pas remplie partout…

Les usines marémotrices utilisent la force de l’eau aussi, mais au lieu d’être implantée sur les torrents de montagne, elles le sont sur nos littoraux et utilisent la force de la mer.

Tout confondu, l’hydroélectricité représente 12% de la production Française d’électricité.

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